Liverpool enchaine par un nouveau succès. Sadio Mane buteur.
A l’issue d’un match bien maitrisé, Liverpool a glané ce samedi son deuxième succès en autant de rencontres de PL. Les Reds sont lancés.
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Liverpool fait honneur à son statut en ce début de saison en Premier League. Après le succès facile contre Norwich la semaine dernière (3-0), les Merseysiders ont confirmé à domicile face à Burnley (2-0). Dans un Anfield enfin rempli et animé, ils n’ont pas eu trop de difficultés à imposer leur loi, même si ce n’est qu’en milieu de seconde période qu’ils ont réussi à se mettre à l’abri.
Diogo Jota a montré la voie à suivre
Les Clarets, qui s’étaient pourtant imposés (1-0) lors de leur dernière visite à Anfield, n’ont pu résister que 18 minutes avant d’encaisser un but dans cette partie. Diogo Jota a débloqué la situation pour les locaux, en convertissant d’une belle tête décroisée un centre du Grec Tsimikas. Le Portugais confirme qu’il est toujours performant lorsqu’il est aligné d’entrée.
Sur la lancée de ce but, Liverpool aurait pu corser l’addition immédiatement. Mais, Mohamed Salah n’a pas été verni. L’Égyptien a raté une belle occasion à la 22e, avant de voir une réalisation refusée pour une légère position de hors-jeu (27e). Et après Salah, ce fut au tour de Sadio Mané de manquer le break en position avantageuse (31e).
Mané récompensé pour sa persévérance
Au retour des vestiaires, et devant la menace d’un réveil adverse, les Reds sont repartis à l’abordage. Salah (60e) et Mané (62e) ont gaspillé d’autres munitions, avant que le Sénégalais n’arrive enfin à trouver la faille. A la 69e, il a soulagé ses coéquipiers en reprenant avec succès un excellent service de Trent Alexander-Arnold. 2-0, le match était plié.
Les dernières minutes de la partie ont vu LFC gérer son avance sans jamais se mettre en danger. Alisson, leur portier, n’a d’ailleurs concédé que trois tirs cadrés tout au long de la partie. Le seul petit bémol au sortir de cette confrontation c’est la sortie sur blessure de Tsimikas. Klopp espère que son latéral hellène n’a rien de grave. L’Allemand se réjouissait à peine d’avoir une infirmerie enfin vide.
