Le Sénégal disputait son premier match de préparation face au Brésil ce jeudi après la finale perdue contre l’Algérie. L’équipe d’Aliou Cissé a livré une copie encourageante et aurait mérité de l’emporter. Firmino avait ouvert le score avant l’égalisation de Famara Diédhiou sur penalty.
Pas de vainqueur entre le Brésil et le Sénégal (1-1), jeudi à Singapour, en match amical. Si la Seleçao a rapidement ouvert le score par l’intermédiaire de Firmino (9e), les Lions de la Teranga ont égalisé juste avant la pause sur un penalty de Famara Diedhiou (45e+1), consécutif à une faute de Marquinhos sur Sadio Mané.
Pour ce match qui promettait d’être à grand spectacle, le Brésil a ouvert le score dès la 9e minute par l’entremise de Roberto Firmino. Sur un très beau service signé Jesus, le buteur des Reds se retrouve dans le dos de la défense africaine et réussit un petit piqué du pied droit qui fait mouche. Au quart d’heure de jeu, Coutinho et Alves enflamment l’arrière-garde sénégalaise, mais ne parviennent pas à concrétiser. Au contraire c’est même le Sénégal qui parviendra à recoller sur une impulsion de Sadio Mané.
L’ailier virevoltant de Liverpool se joue de Daniel Alves et Marquinhos et est bousculé par le Parisien dans la surface sud-américaine. Diedhiou égalise en prenant Ederson à contre-pied sur pénalty dans la foulée et ce, juste avant le repos.
La seconde période est tout aussi animée que la première et à 20 minutes du terme, une tentative de Neymar retombe juste au-dessus de la transversale de Gomis. Quelques instants plus tard, Ndiaye tente sa chance du gauche de loin et fait briller Ederson qui s’envole pour capter alos qu’une frappe signée Mané de l’extérieur de la surface s’écrase sur le poteau gauche du portier brésilien. Mais plus rien ne sera marqué dans cette partie assez plaisante. 1-1 entre les Lions de la Téranga et la Seleçao.
Face à une formation auriverde qui alignait son 11 de Gala, les lions ont partagé les points d’un très honorable match nul qu’ils n’ont certes pas volé. D’ailleurs, on a même senti chez eux comme un certain regret de n’avoir pu obtenir plus, tant ils passèrent près de l’exploit et ce, très nettement, à deux reprises.
